Voici mon histoire j'espère qu'elle convient...
Histoire:
Journal personnel de Layla (Layla décrit sa vie jusqu’à présent)
Mon père et ma mère se sont rencontrer par hasard sur le marché central du royaume d’Améthyste. Ma mère provenait de la race des sirènes et mon père de celle des humains. Mon père était le roi d’Améthyste. Ce jour-là, il se promenait à cheval dans son royaume saluant chaque personne. Tous les habitants adoraient leur roi car celui-ci était proche de son peuple et écoutait ses moindre revendications. Ma mère quand à elle, n’était qu’une simple paysanne venant acheter une miche de pain pour nourrir toute sa famille. Ma mère s’appelait : Cellia et mon père : Alce. Alors que mon père passait devant le stand du marchant de légumes, il aperçut vaguement le doux visage de ma mère. Celui-ci était dissimulé par un capuchon attaché à une cape noire très simple. Le roi fut subjugué par la beauté naturelle de cette femme qui était vêtu misérablement. Il mit prestement pied à terre et s’avança vers ma mère. Des femmes de riches marchands se pavanaient devant lui espérant gagner son cœur et se voir accorder des faveurs, quelle ne fut pas leur surprise lorsqu’elles virent le roi se diriger vers cette pauvre femme. Le roi arriva par derrière et ma mère ne l’entendit pas. Il dit :
-Pardonner-moi madame..mais puis-je savoir votre nom?
Ma mère se retourna et ne put cacher la surprise qu’elle éprouva en voyant le roi, ce bel homme richement habiller, lui parler. Elle dit d’une voie suave :
-Je suis Cellia, simple paysanne.. Pardonner-moi mon impolitesse majesté mais j’aimerais savoir ce que j’ai fait pour que vous m’adressiez la parole, car c’est pour moi un grand honneur..
Le roi regarda la femme puis d’un rapide geste de la main rejeta son capuchon vers l’arrière. Mon père, le roi découvrit à cet instant un visage au trait fin et élégants ainsi que de magnifiques yeux bleus comme l’océan encadrer par une soyeuse chevelure noire comme la nuit. Il répondit tout en faisant un baise main à la femme :
-Enchanté de vous rencontrer demoiselle Cellia, je me demandais si vous accepteriez de me suivre jusqu’à mon château?
On put lire l’incompréhension sur le visage des villageois. Comment le roi pouvait-il s’intéresser à une simple paysanne ? Le roi ne se soucia guère de se que pensaient ses sujets, il avait devant lui, l’élue de son cœur.. Il en était sur, une petite voie à l’intérieur de lui approuvait ses dires. La paysanne répondit :
-Sire.. je serais honoré de vous suivre mais je ne le peux pas malheureusement…Je dois nourrir ma famille et pour cela je dois travailler.
Le roi sourit et dit d’un ton chaleureux :
-Ne vous inquiéter pas, mes gardes s’occuperont d’apporter beaucoup de nourriture a votre famille..
-Et bien.. je ne vous pas d’autres raison de ne pas vous suivre sire..
Le roi Alce pris la mais de la dame et la guida jusqu’à son cheval. La bête était immense, noir comme les ténèbres, majestueux représentant de sa race. Il la pris par la taille et la grimpa sur le dos de la bête. Il monta devant elle puis ils partirent vers le château. À partir de ce jour, une étroite relation se battit entre mon père et ma mère. Après un an, mon père demanda ma mère en mariage. Celle-ci accepta immédiatement convaincue qu’il était l’homme de ses rêves. Leur mariage eut lieu devant tous les villageois… Tous savait que Cellia ferait un très bonne reine. Une année passa dans la tranquillité et la paix. Le couple que formait mes parents servait de model à plusieurs car même après un certain temps de vie commune on pouvait toujours voir le même amour infini qu’il éprouvait l’un pour l’autre. Un jour, ma mère apprit qu’elle était enceinte, elle et mon père furent fou de joie. Neuf mois plus tard, je venais au monde. Ils décidèrent de m’appeler Layla car étant toute petite ma mère avait entendu ce prénom dans un conte et celui-ci lui avait énormément plus. Mon père qui aimait lui aussi ce prénom accepta sans rechigner. Mes cinq premières année de vie se passèrent sans qu’aucun incident ne frappe ma famille. Le jour de mes six, alors que nous étions tous les trois attablé dans la grande salle à manger du château pour mon anniversaire, je vis ma mère devenir très pale. N’étant qu’une toute petite fille à cette époque, je dit :
-Papa.. maman bobo!
Mon père posa donc son regard sur sa femme et la vit fermer les yeux et tomber de sa chaise. Ma mère tomba lourdement de sa chaise pour aller se frapper contre le plancher de marbre blanc. Mon père se précipita sur ma mère alors que moi j’essayais de descendre de ma chaise qui était beaucoup trop haute pour moi. Je finis par me laisser tomber sur le sol et marcha temps bien que mal jusqu’à mes parents. Mon père ordonna qu’on aille chercher le médecin immédiatement pendant ce temps une servante s’approcha de moi et m’agrippa solidement par derrière pour me soulever et me prendre dans ses bras. Elle s’appelait Élène et elle était depuis ma naissance ma nounou attitrée lorsque mes parents ne pouvait prendre soin de moi. Je me débattit pour qu’elle me lâche mais elle ne me lâcha pas prise. Elle m’emmena dans ma chambre. Je vis par dessus son épaule, mon père tenant ma mère inerte dans ses bras, le médecin lui disant de la conduire dans une chambre. La reine Cellia avant de retomber dans l’inconscience ouvrit les yeux et m’envoya un baiser souffler, puis elle sombra à nouveau dans un sommeil vide. Cette marque d’amour et cette image furent les derniers souvenirs que j’eus de ma mère. Le soir même alors que je jouais avec mes poupées de chiffon, tandis que Élène tricotait, j’entendis le bruit d’une porte qui s’ouvre et se referme. Mon père le roi, entra les yeux bouffis signe qu’il avait pleuré. La servante se leva et plaqua sa main sur sa bouche délaissant son tricot. Elle dit :
-Oh majesté! Je suis si désolé…
Le roi s’approcha de sa fille et la pris dans ses bras. Il alla s’asseoir sur le lit. Je vis alors mon père pleuré je dit :
-Papa.. pourquoi tu pleures?
Mon père me regarda et dit :
-Maman est partit.. pour toujours..
Je figeai quelques minutes le temps que toute ses informations parviennent à mon cerveau de petite fille. Puis comprenant enfin la signification de ses paroles, je me mis à pleurer à chaudes larmes. Je me collai contre mon père qui me serai très fort. Nous restâmes ainsi pendant de longues minutes. Je me souviendrai toujours de mon sixième anniversaire comme étant la date de la mort de ma mère… Je continuai de grandir quand même avec pour seule affection celle de mon père. Alors que j’étais âgé de 14 ans, mon père me présenta une femme, c’était une noble qu’il avait rencontré. Je vis tout de suite qu’elle ne m’aimait pas car lorsque nous étions avec mon père, elle se conduisait gentiment avec moi mais lorsque nous nous retrouvions seules toute les deux, elle me menaçait. Mon père maria cette femme que je détestais plus que tout… Elle était complètement l’inverse de ma douce maman.. Je fus forcer de cohabiter avec cette femme 24 heures sur 24, l’évitant de plus en plus. Le jour de mes 18 ans, alors que nous étions attablés, elle murmura quelque chose à mon père. Cela remonte à environ 1 mois… Pour ne pas paraître impolie, je fis comme si de rien était. Je continuai de manger mon repas… Mon père toussota un peu pour attirer mon attention. Je tournais vers lui mes yeux bleus qui avait toujours rendu jalouse sa deuxième femme. En fait, celle-ci m’enviait tout, car étant une sirène, je possédais une beauté naturelle extraordinaire. Il me dit :
-Ma chéri, nous avons quelque chose à t’annoncer.. Comme tu es maintenant apte à te marier !
-Nous avons décidé de te promettre à un prince d’un autre royaume….
Continua ma belle-mère…
-J’ai moi-même choisit ce prince…(elle lui tendit un paquet de feuille)Voici tous les renseignements qui le concernent..
Elle me sourit hypocritement.. Je pris la pile de feuille et la lança sur la table, toutes les feuilles volèrent un peu partout. Je repoussais violemment et brusquement ma chaise et me leva. Je dis d’une voie de fureur :
-Jamais vous ne forcerez à épouser un homme que je n’aime pas.. De toute façon si c’est toi(pointe la reine) qui l’a choisit, il doit être insupportable…Tu ferais n’importe quoi pour me faire souffrir…
Elle se leva et tourna les talons. Elle courut vers la porte et avant que les gardes n’eut put réagir, elle l’ouvrit violemment et se précipita hors de la salle. Elle courut dans les couloirs du château et arriva dans son repère secret.. Son jardin personnel était l’endroit ou elle se sentait en sécurité.. Lorsqu’elle y pénétra, une brise vint agiter sa robe et son voile. Elle marcha vers le petit banc de marbre au centre du jardin et se mit à genoux devant celui-ci. Elle posa ses mains et sa tête sur celui-ci et pleura silencieusement. Elle pensa :
*Si maman avait été là elle ne m’aurais jamais forcé à épouser un prince que je n’aime pas…*
Ce soir-là, je m’endormit épuiser sur le banc. Je n’adressa jamais plus d’un regard à ma belle-mère. Je suis toujours fâché contre mon père qui à maintenant à changer d’attitude envers moi. Il est maintenant plus dur et façonner comme sa femme le désire…Je n’ai pas encore rencontré le prince que je serai forcer d’épouser..
